Nom du blog :
inesdu8389
Description du blog :
recettes de cuisines , espace enfantin, cinéma, chansons, poèmes, pays, animaux, jeux d'antan etc...
Musique
>> Toutes les rubriques <<
· Nos chers disparus (3950)
· Expressions anciennes (868)
· Spécialités des régions de France (835)
· Actrices de cinema (55)
· Les séries toutes chaines confondus (241)
· Les contes de Grimm (120)
· Les saints (343)
· Séries policiéres de la 3 (57)
· Les fables de Jean de la Fontaine (242)
· Métiers d'autrefois (459)
Accueil
Gérer mon blog
Créer un blog
Livre d'or inesdu8389
Contactez-moi !
Faites passer mon Blog !
· le loup blanc de siberie
· bonne nuit les petits
· Les quatres saisons
· L'Automne
· feuilletons tv des années 60 70 80
· Michelle Mercier
· recette du poulet yassa
· heidi
· L'Hiver
· Proverbe et citation
· La montagne au printemps
· La feuille d'automne
· porte bonheur
· les antilles
· Laura Howard
société sur vie mer cheval mort animaux animal chien chez
Derniers commentairesc'est génial de publier de vieux dessins animés comme ça
j'adore
merci et belle soirée http://conseil s-m
Par Virginie, le 29.12.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Koukla, le 08.09.2024
mignon...
Par Arnaud , le 04.09.2024
hello.petit coucou du jour.passe un bon wk.amitiés http://vinyles -33-45.centerb log.net
Par Koukla, le 31.08.2024
coucou.passe une bonne soirée.amiti? ?s http://vinyles -33-45.centerb log.net
Par vinyles-33-45, le 24.04.2024
Les vertus devraient être soeurs,
Ainsi que les vices sont frères.
Dès que l’un de ceux-ci s’empare de nos coeurs,
Tous viennent à la file ; il ne s’en manque guères :
J’entends de ceux qui, n’étant pas contraires,
Peuvent loger sous même toit.
À l’égard des vertus, rarement on les voit
Toutes en un sujet éminemment placées
Se tenir par la main sans être dispersées.
L’un est vaillant, mais prompt ; l’autre est prudent,
[ mais froid.
Parmi les animaux, le Chien se pique d’être
Soigneux et fidèle à son maître ;
Mais il est sot, il est gourmand :
Témoin ces deux mâtins qui, dans l’éloignement,
Virent un Âne mort qui flottait sur les ondes.
Le vent de plus en plus l’éloignait de nos Chiens.
« Ami, dit l’un, tes yeux sont meilleurs que les miens :
Porte un peu tes regards sur ces plaines profondes ;
J’y crois voir quelque chose. Est-ce un boeuf, un cheval ?
– Eh ! qu’importe quel animal ?
Dit l’un de ces mâtins ; voilà toujours curée.
Le point est de l’avoir ; car le trajet est grand ;
Et de plus il nous faut nager contre le vent.
Buvons toute cette eau ; notre gorge altérée
En viendra bien à bout : ce corps demeurera
Bientôt à sec, et ce sera
Provision pour la semaine. »
Voilà mes Chiens à boire ; ils perdirent l’haleine,
Et puis la vie ; ils firent tant
Qu’on les vit crever à l’instant.
L’homme est ainsi bâti : quand un sujet l’enflamme,
L’impossibilité disparaît à son âme.
Combien fait-il de voeux, combien perd-il de pas,
S’outrant pour acquérir des biens ou de la gloire !
Si j’arrondissais mes états !
Si je pouvais remplir mes coffres de ducats !
Si j’apprenais l’hébreu, les sciences, l’histoire !
Tout cela, c’est la mer à boire ;
Mais rien à l’homme ne suffit.
Pour fournir aux projets que forme un seul esprit,
Il faudrait quatre corps ; encore, loin d’y suffire,
À mi-chemin je crois que tous demeureraient :
Quatre Mathusalems bout à bout ne pourraient
Mettre à fin ce qu’un seul désire.